Info LE MONDE [26 octobre 2005)-KHABAD (Kurdistan) de notre envoyée spéciale
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lles étaient trois amies, professeurs à Karama, un quartier de Mossoul, la troisième ville d'Irak. Suzan était arabe et enseignait le Coran. Hanan et Shahla étaient kurdes et enseignaient l'arabe et l'anglais. "En arrivant le matin, on a juste vu le sang devant l'école, là où elles furent tuées" , raconte leur élève Iman, 10 ans.

  


Juin 2007

Le dernier numéro de Manière de voir (1) offre une mise en perspective particulièrement bienvenue du bras de fer en cours. Après l’éditorial d’ouverture au titre percutant (« Compte à rebours »), on appréciera la sélection opérée dans plus de trente ans d’articles que Le Monde diplomatique a consacrés à l’Iran. Les reportages de Marcel Barang en 1975 sur l’« occidentalisation en trompe-l’œil » ou sur le système répressif demeurent de précieux éclairages sur le régime du chah.

Par Jean-Pierre Filiu Professeur associé à l’Institut d’études politiques de Paris, auteur de l’essai Les Frontières du jihad, Fayard, Paris, 2006.

  


jeudi 3 janvier 2008

Nouvelle flambée de violence en Turquie. Un attentat a frappé la ville de Diyarbakir, dans le sud-est du pays à majorité kurde, jeudi.


  

Info
Presse Canadienne

Le 13 octobre 2005

Le "fédéralisme est un passage obligé" pour les Kurdes d'Irak qui rêvent d'indépendance, estime Louise Beaudoin. D'après l'ancienne ministre, le Québec demeure pour eux un "modèle" notamment en matière de relations internationales et de protection de la langue.


  

10 jullet 2007

Les Etats-Unis et l'Irak ont mis en garde la Turquie, lundi 9 juillet, contre toute velléité d'intervention militaire contre les rebelles kurdes basés dans le nord de l'Irak. "Une grande mobilisation est en cours le long de la frontière septentrionale de l'Irak", a affirmé le ministre des affaires étrangères irakien, Hochiyar Zebari, estimant à 140 000 le nombre de soldats turcs qui seraient massés le long de la frontière séparant la Turquie de l'Irak.

  


BAGDAD, 5 mai 2007 (AFP)

La vidéo du lynchage d'une adolescente de la minorité yézidie, tuée en avril dans le nord de l'Irak parce qu'elle était amoureuse d'un musulman, est diffusée sur des sites internet irakiens.

  

DIYARBAKIR (Turquie), 13 nov 2005 (AFP) - 10h48 - Plus de 10.000 personnes se sont rassemblées dimanche sur une place de Diyarbakir (sud-est de la Turquie) pour prôner une solution pacifique au problème kurde, a constaté un correspondant de l'AFP.


  

 | 07.10.06 | 13h36  •  Mis à jour le 07.10.06 | 13h36
HABOUR (frontière turco-irakienne) ENVOYÉE SPÉCIALE 

'ambiance a bien changé au poste frontière turc de Habour, face au Kurdistan d'Irak. Les cauchemardesques files de camions-citernes de pétrole, qui s'allongeaient jusqu'à l'hiver 2005 sur des dizaines de kilomètres de part et d'autre de la frontière, ont disparu. Le poste frontière a été agrandi, avec de nouvelles installations, modernes et presque élégantes.

  

Dernières nouvelles d'Alsace (6 février 2005)

Avec l'accord des chefs kurdes, les partisans de l'indépendance ont organisé une consultation des électeurs de leur région dimanche. Vive réaction turque.

En assurant qu’il espérait bien voir les Kurdes bénéficier de leur propre Etat «de son vivant», le chef kurde Massoud Barzani a mis dimanche les pieds dans le plat dès la fin du scrutin! Barzani a poursuivi en mettant les points sur les i à propos de Kirkouk, la capitale pétrolière du nord de l’Irak: «Kirkouk est une ville irakienne, Kirkouk est une ville kurde (...). Et ni la Turquie ni quelque autre pays que ce soit n’ont le droit de dire quoi que ce soit à propos de Kirkouk, ou de toute autre ville d’irak.» Autant de déclarations qui, si elles n’ont rien de neuf sur le fond, ont immédiatement fait rugir Ankara.

  



Compte rendu - LE MONDE - 13 juin 2006
LUXEMBOURG BUREAU EUROPÉEN

  Les négociations d'adhésion entre la Turquie et l'Union européenne ont vraiment commencé, lundi 12 juin à Luxembourg, huit mois après l'accord conclu le 3 octobre sur l'ouverture des pourparlers. Le premier des trente-cinq chapitres en discussion, consacré à la science et à la recherche, a fait l'objet d'un accord entre les Vingt-Cinq et le gouvernement d'Ankara : les ministres européens des affaires étrangères ont estimé que, dans ce domaine, la Turquie remplit ses obligations au regard de la législation européenne.