La crise politique en Irak ouvre un nouveau chapitre. Réunis samedi 28 avril à Erbil, la capitale du Kurdistan irakien, les principales figures de la coalition ont lancé un appel en faveur d’une meilleure application des principes démocratiques. Si le Premier ministre Nouri al-Maliki se garde pour l’heure de tout commentaire, les Kurdes agitent à nouveau la menace d’une sécession.
Lefigaro.fr | Par Fatma Kizilboga
Aldar Xelîl est absorbé par les images de manifestations retransmises sur l'écran plasma du petit hôtel dans lequel il reçoit. «Les villes à majorité kurde sont celles où la rue reste la plus mobilisée», lâche fièrement ce responsable du parti de l'Union démocratique (PYD), rencontré à Erbil, capitale du Kurdistan irakien et nouveau bastion de l'opposition syrienne kurde en exil.
Nouvelobs.com
TUNIS (Reuters) - Le Conseil national syrien a promis vendredi, si le régime de Bachar al Assad est renversé, d'instituer un conseil présidentiel à la tête de la Syrie et d'accorder à la minorité kurde un gouvernement autonome et une reconnaissance de son identité.