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Par Christophe AYAD - lundi 22 mai 2006

Formé après cinq mois de tractations, le cabinet d'union nationale de Nouri Al-Maliki doit éviter à l'Irak une guerre civile déjà amorcée.

Le gouvernement de la dernière chance ou le dernier épisode de la descente aux enfers de l'Irak ? Après plus de cinq mois de négociations acharnées, le nouveau gouvernement irakien dirigé par Nouri al-Maliki a prêté serment samedi devant le Parlement au milieu des interruptions de séance, des vociférations et du départ de 17 députés sunnites mécontents.


  

Mardi 17 juillet 2007 | Alain Campiotti, Sivas

Les Turcs se rendent aux urnes dimanche pour tenter de résoudre une crise politique majeure. Au même moment, l'armée tonne contre les Kurdes qui ont repris les armes dans le sud-est. Reportage dans l'épicentre anatolien, à Sivas


  

avec AFP, 9 octobre 2007

Ebranlé par la mort de quinze soldats tués ces derniers jours par les séparatistes kurdes, le gouvernement turc a décidé, mardi 9 octobre, de brandir la menace d'une opération transfrontalière en Irak contre les bases du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK).


  


Jeudi 18 octobre 2007 | propos recueillis par Isabelle Tallec

Le parlement turc a donné son aval, mercredi, à d'éventuelles incursions contre les Kurdes dans le Nord de l'Irak. Quelles raisons sous-tendent le choix de cette option militaire? Le point de vue de Kendal Nezan, président de l'Institut kurde de Paris, lui-même originaire de Turquie.


  


Jeudi 25 janvier 2007
Par Esther BENBASSA, directrice d'études à l'Ecole pratique des hautes études.

Rebonds :  Hrant Dink est mort pour ses idées, pour nous rappeler la longue chaîne des massacres du XXe siècle.

  

Critique - LE MONDE | 13.09.05 | 13h47
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ourné en grande partie au Kurdistan irakien après la chute du régime de Saddam Hussein, Kilomètre zéro, d'Hiner Saleem, vacille sous le poids de l'histoire.

  


15 janvier 2008 | Cécile Hennion

Le "projet national" signé, dimanche 13 janvier, à Bagdad, par une alliance de 150 députés irakiens issus de douze partis de tous bords n'est pas "officiellement" dirigé contre le gouvernement autonome du Kurdistan. Mais personne ne s'y est trompé. En réclamant le règlement du statut de la ville stratégique de Kirkouk sur la base d'un consensus politique au sein du Parlement, et que la signature des accords pétroliers soit réservée au seul gouvernement de Bagdad, ce document vise les intérêts des Kurdes d'Irak.


  


4 octobre 2008

Les escarmouches sont fréquentes entre soldats turcs et rebelles kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Mais l'affrontement de vendredi, le plus violent depuis un an, a forcé le premier ministre turc Tayyip Erdogan à couper court à une visite officielle au Turkménistan pour superviser la riposte.


  


  


12 juin 2007 | Correspondant à Istanbul, Jérôme Bastion

A l'approche des élections législatives, le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, s'est clairement opposé, mardi 12 juin, à une incursion militaire turque dans le nord de l'Irak contre les bases des rebelles kurdes, prenant le risque de se couper de l'armée qui y est favorable. Recep Tayyip Erdogan s'exprimait juste avant une réunion des dirigeants civils et militaires du pays consacrée aux mesures à prendre contre les séparatistes kurdes du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK, interdit) qui ont intensifié leurs attaques en Turquie avant le scrutin du 22 juillet.