WASHINGTON, 10 avr 2005 (AFP) - 18h15 - Le nouveau président de la République irakienne, le Kurde Jalal Talabani, a défendu dimanche la présence américaine en Irak au lendemain d'une manifestation qui a rassemblé des dizaines de milliers de personnes à Bagdad pour conspuer les Etats-Unis.

  

KOI SANJAQ (Irak), 4 juil (AFP) - 16h35 - Le président élu iranien Mahmoud Ahmadinejad était directement impliqué dans les préparatifs de l'assassinat d'un chef rebelle kurde en 1989 à Vienne, a accusé lundi un responsable du Parti démocratique du Kurdistan d'Iran (PDKI).

  


jeudi 19 juillet 2007 | MARC SEMO
Baskin Oran, 62 ans, universitaire turc. Candidat aux législatives, laïque, de gauche, défenseur des minorités, il est menacé comme le fut, avant lui, son ami Hrant Dink, journaliste assassiné.

  


Mercredi 5 mars 2008 | Reuters

Les militaires turcs ont rejeté mardi les critiques de l'opposition portant sur la manière dont ils ont géré une offensive terrestre contre les rebelles kurdes du PKK dans le nord de l'Irak.


  


7 novembre 2007

BAGDAD (AFP) — Les autorités de la région autonome du Kurdistan irakien ont approuvé la signature de sept nouveaux contrats pétroliers dans cette partie du nord de l'Irak, où opèrent désormais une vingtaine de compagnies étrangères malgré l'opposition du gouvernement de Bagdad.


  

LEMONDE.FR | 01.06.05 | 18h31  •  Mis à jour le 01.06.05 | 19h00

Le Parti des travailleurs du Kurdistan, réuni en congrès, mercredi 1er juin, dans le nord de l'Irak près de la frontière avec l'Iran, a proposé un cessez-le-feu et un dialogue avec les autorités turques.

  


30 novembre 2007

ANKARA (Reuters) - Le gouvernement turc a donné son feu vert à l'armée turque pour intervenir à tout moment au Kurdistan irakien contre la guérilla séparatistes kurde du PKK.


  

06.11.06 | 17:27 par Sara Daniel,
grand reporter au Nouvel Observateur,
auteur de "Voyage au pays d'Al-Qaïda" (Seuil)


Le procès de Saddam Hussein, qui a débouché sur sa condamnation à mort, s'est-il déroulé de façon équitable ?


  


30 décembre 2006

Jusqu'au bout, Saddam Hussein a cru ou feint de croire qu'il était encore, dans sa prison, le président de l'Irak. Jusqu'au bout, il a cru ou feint de croire qu'il était victime d'une machination américaine dont des centaines de citoyens irakiens qui témoignaient contre lui n'étaient que les instruments. Jusques et y compris après sa condamnation à la peine de mort, le 5 novembre 2006, quand, dans une "lettre au peuple irakien", il a dit accepter la mort en "martyr" et se "sacrifier" pour son peuple.


  

BAGDAD, 4 sept (AFP) - 13h10 - L'ancien dictateur Saddam Hussein fera face à partir du 19 octobre au Tribunal spécial irakien (TSI) chargé de le juger pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité à la satisfaction des chiites et des Kurdes qui n'ont cessé de demander de le faire comparaître rapidement.