Thierry Oberlé - 15 mai 2006
(Rubrique International)
Trois ans après l'entrée des Américains en Irak, la province autonome du Kurdistan coule des jours paisibles. Semi-indépendante depuis le soulèvement contre Saddam en 1991, elle possède ses propres administrations et institutions. Proaméricains, les Kurdes se tiennent à l'écart de la violence qui secoue l'Etat confédéral.
par Jérôme Bastion [30 décembre 2005]
De notre correspondant à IstanbulA peine plus de trois ans après son arrivée au pouvoir, le Parti de la justice et du développement (AKP) de Recep Tayyip Erdogan n’a jamais paru aussi contesté et le Premier ministre accuse une nervosité de plus en plus manifeste face aux critiques, multipliant les procédures judiciaires et les attaques verbales.
ANKARA, 18 nov 2005 10h 53 (AFP) - Le président de la région autonome kurde d'Irak, Massoud Barzani, a affirmé dans un entretien vendredi avec la chaîne d'information turque NTV que sa communauté n'aurait pas d'autre choix que de proclamer son indépendance si une guerre civile éclatait en Irak.