Jeudi 4 janvier 2018 à 09h11
Paris, 4 jan 2018 (AFP) — Les femmes jihadistes françaises arrêtées dans le "Kurdistan syrien" seront "jugées là-bas" si les "institutions judiciaires sont en capacité d'assurer un procès équitable" avec des "droits de la défense respectés", a déclaré jeudi le porte-parole du gouvernement français, Benjamin Griveaux.
Si "dans la partie kurde de la Syrie, dans le Kurdistan syrien", "il y a des institutions judiciaires qui sont en capacité d'assurer un procès équitable avec des droits de la défense assurés, elles seront jugées la bas", a déclaré M. Griveaux sur RMC et BFMTV.
Les informations ci-dessus de l'AFP n'engagent pas la responsabilité de l'Institut kurde de Paris.