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Schkak Mareske

Né au Kurdistan de l'ouest, Schkak étudie dès le plus jeune âge les Beaux-Arts et part en Europe.

Il fait des études de médecine, visite les grands musées d’Europe tout en poursuivant sa formation de peintre.

Dès 1997, Sir Ernst Gombrich va lui consacrer les éloges qu'il avait réservés jusqu'alors à peu de grands maîtres du passé.

La correspondance de ce savant est disponible pour les institutions et personnes intéressées.

Schkak par lui même

J’ai eu la fortune de naitre à Mareské, hameau propriété familiale depuis 1842. Il s'agissait d'un univers fait exprès pour moi : le paysage, l'air, les figures humaines aux allures et gestes enchantés. Ensuite, j'embrassais ma vocation-destinée, de la main de ma tante qui a ouvert mon esprit à toutes les beautés et bontés.

A l’âge de onze ans je me suis assuré une formation solide à l'académie des Beaux-Arts. En 1968 j’ai commencé les études de médecine à Saragosse, d’où je partais pour Paris afin de mieux connaître les chefs-d'oeuvre du passé au Louvre, mais aussi d'autres musées.

Dès 1975, avec la pratique de la médecine, j’ai accepté le rôle d'être le seul mécène de mon oeuvre picturale; une dure tâche qui s'est longuement prolongée. C'est sans doute le tribut coûteux pour conserver mon indépendance à l’égard d'une époque plongée dans le relativisme culturel et l'absence de valeurs. Plus d'un siècle de modernisme et snobisme tyrannisant et sans art, c'est assez.

En 1997 j'ai connu Sir Ernst Gombrich qui admirait mon oeuvre et me consacrait une haute place dans l'histoire de l'art: il comparaît notamment mes dessins à ceux de Leonard de Vinci dans ses lettres du 30 mars 1998 et du 18 novembre 1998.

En bref, en l'absence d'événements majeurs dans ma vie, voilà une biographie qui est faite à la pointe du pinceau.

Schkak